Un pommier, c’est joli pour se parler d’amour. Sauf quand on dit des mots que l’on n’a pas à quelqu’un qui ne veut pas les entendre.
Une histoire en 4 saisons.
Des morts à tire larigot, des témoins bruts de décoffrage, des gendarmes quelque peu désabusés et l’inévitable inconnue (aussi mystérieuse que vénéneuse) qui finit forcément par leur voler dans les plumes. Du pur pseudo-polar bucolique et ornithologique.
Une enquête campagnarde en 8 chapitres.
D’aucuns prétendent qu’ils sont plus harmonieux que la vie, les souvenirs. Qu’il n’y a pas d’embouteillage dans les souvenirs, qu’il n’y a pas de temps morts. Ils avanceraient comme des trains, comme des trains dans la nuit. Comme la voiture 7 du Train à Grande Vitesse numéro 8375 en provenance de Pétaouchnock et à destination de Nullepart (départ à 14H53 voie B). Pour votre sécurité, éloignez-vous quand même de l’abord dur du vrai.
20 nouvelles sur les rails, tchou tchouuuuuu.
Sait-on jamais ce qu’après demain nous ferons de ce qui s’est passé avant-hier ?
Du mystère plein les (20) chapitres
36 textes courts pour t’en faire voir autant, des chandelles.
Si par un soir d’hiver, voyageur immobile, tu viens pousser la porte de la boutique obscure…
C’est l’histoire d’un garçon qui rencontre une fille (ou vice versa) …
20 nouvelles indépendantes et entrecroisées qui essaient, tant bien que mal, de tourner autour du pot aux roses.
Lorsque Fantômas, le tristement célèbre génie du crime, se propose de venir semer l’effroi et la désolation à Tours (préfecture du département d’Indre-et- Loire), il trouve sur son chemin ses éternels et infatigables adversaires : le policier Juve et Fandor le journaliste.
Dans la plus pure tradition du roman-feuilleton, 18 chapitres plus haletants et survoltés les uns que les autres.
Alors qu’une guerre mondiale (la première du nom) décime allègrement une bonne partie de la population, un médecin de province, idéaliste mais désabusé, est le témoin impuissant d’évènements mystérieux qui vont bouleverser l’humanité bien plus radicalement que les obus de mortier ou le gaz moutarde.
Un roman (d’après moi) passionnant en 18 chapitres (carrément) bourrés de rebondissements.
Oui, mais non... 